Les événements de mai-juin 1968, désignent une période durant laquelle se déroulent, en France, des manifestations étudiantes.
Élan de protestation lancé par les étudiants et les ouvriers contre la société traditionnelle et l'autorité, Mai 68 est un mouvement d'une ampleur sans précédent qui prend des allures de révolution. Prises de parole, débats et assemblées générales ont lieu dans les rues, les entreprises, les administrations et les universités.
Les causes se situent sur le plan social, économique et culturel selon que l'on considère les revendications des étudiants ou celles des ouvriers.
Les jeunes condamnent l'impérialisme nord-américain face à l'atrocité de la guerre du Vietnam. Ils s'opposent à la dégradation de leurs conditions matérielles : la vétusté et le manque d'universités par exemple. Ils dénoncent la rigidité du pouvoir en général (absence de mixité dans les écoles, système des diplômes injuste, absence de libertés individuelles...)
Ils découvrent également la très grande misère près des universités, notamment à Nanterre où il existe encore des bidonvilles.
Ils rejettent la société de consommation dans son ensemble.
La situation de guerre froide entre les capitalistes et les communistes fait naître des idées anti-nucléaires chez les jeunes. Certains militants critiquent le PCF (le partie comuniste français) pour son manque de prise de position envers l'URSS ( Union soviétique) quant à l'existence des goulags. Les événements de mai-juin provoquent la mort de beaucoup de personnes. Les jeunes créent beaucoup de slogan comme: "les murs ont la parole" "on ne revendiquera rien, on ne demandera rien, on prendra, on occupera".
Dès 1967 et début 1968, les ouvriers font la grève et occupent des usines. La classe ouvrière revendique une hausse de leur salaire et une diminution de la durée du travail (52 h par semaine à cette période). Les ouvriers veulent mettre fin à l'autoritarisme des patrons. Les ordonnances décrétées en 1967 sur l'aménagement de la sécurité sociale doivent selon eux être abrogées.
Élan de protestation lancé par les étudiants et les ouvriers contre la société traditionnelle et l'autorité, Mai 68 est un mouvement d'une ampleur sans précédent qui prend des allures de révolution. Prises de parole, débats et assemblées générales ont lieu dans les rues, les entreprises, les administrations et les universités.
Les causes se situent sur le plan social, économique et culturel selon que l'on considère les revendications des étudiants ou celles des ouvriers.
Les jeunes condamnent l'impérialisme nord-américain face à l'atrocité de la guerre du Vietnam. Ils s'opposent à la dégradation de leurs conditions matérielles : la vétusté et le manque d'universités par exemple. Ils dénoncent la rigidité du pouvoir en général (absence de mixité dans les écoles, système des diplômes injuste, absence de libertés individuelles...)
Ils découvrent également la très grande misère près des universités, notamment à Nanterre où il existe encore des bidonvilles.
Ils rejettent la société de consommation dans son ensemble.
La situation de guerre froide entre les capitalistes et les communistes fait naître des idées anti-nucléaires chez les jeunes. Certains militants critiquent le PCF (le partie comuniste français) pour son manque de prise de position envers l'URSS ( Union soviétique) quant à l'existence des goulags. Les événements de mai-juin provoquent la mort de beaucoup de personnes. Les jeunes créent beaucoup de slogan comme: "les murs ont la parole" "on ne revendiquera rien, on ne demandera rien, on prendra, on occupera".
Dès 1967 et début 1968, les ouvriers font la grève et occupent des usines. La classe ouvrière revendique une hausse de leur salaire et une diminution de la durée du travail (52 h par semaine à cette période). Les ouvriers veulent mettre fin à l'autoritarisme des patrons. Les ordonnances décrétées en 1967 sur l'aménagement de la sécurité sociale doivent selon eux être abrogées.